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Vegan, elle avale un morceau de viande par erreur et sombre dans le coma

Claire-Bénédicte, militante vegan, influenceuse bien-être, et ennemie jurée de la protéine animale, a été transportée d’urgence à l’hôpital ce samedi après avoir involontairement consommé un morceau de saucisson dans une soirée d’anniversaire, qu’elle croyait être un “chorizo végane, goût cochon, sans cochon.”

Selon des témoins, le morceau de saucisson aurait été glissé dans une assiette de tapas par un certain Jean-Kévin, flexitarien depuis mars dernier. « Je voulais juste lui faire goûter la vraie vie, je pensais pas qu’elle tomberait », a-t-il déclaré en sanglotant, un verre de kombucha à la main.

Une réaction immédiate

Quelques secondes après l’ingestion, Claire-Bénédicte aurait écarquillé les yeux, prononcé les mots « C’est juteux, c’est… c’est… délicieux ?! », avant de s’effondrer au sol dans un spasme gustatif intense. Les convives, choqués, ont tenté de la ranimer avec des sprays d’huile essentielle à la lavande et des chants de mantras tibétains, sans succès.

Elle a été évacuée par les pompiers qui ont confirmé un « coma éthique d’origine animale ». Le SAMU a dû désinfecter son estomac à l’infusion de tofu fermenté pour éviter une rechute.

Les réseaux sociaux en feu

Sur Instagram, le hashtag #PrayForClaireB a explosé. Les influenceurs végans dénoncent un attentat alimentaire. « C’est une agression carniste ! » a hurlé @Gaïa_Sans_Fromage à ses 150K abonnés. De son côté, le lobby de la viande a proposé de lui envoyer un colis de steaks tartares pour “compléter sa transition”.

Les médecins divisés

Le professeur Dugenoux, spécialiste en éthique digestive, tempère : « On observe parfois des chocs moraux aigus chez les végans stricts. Mais un coma ? C’est rare. Sauf peut-être avec du foie gras… ou un Big Mac. »

Vers un procès tofu-contre-steak

La famille de Claire-Bénédicte envisage de porter plainte pour « tentative de conversion protéinique ». Jean-Kévin, quant à lui, reste introuvable. Il aurait fui en trottinette électrique, laissant derrière lui un reste de planche apéro et une bouteille de vin bio ouverte.

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