Selon les experts, Elisabeth Borne voit très bien des deux yeux !
Dans un rapport explosif publié ce matin par l’Institut National de Vision Gouvernementale (INVG), des experts affirment, preuves à l’appui, qu’Élisabeth Borne, Ministre de l’Éducation nationale, voit bel et bien très bien des deux yeux. Cette révélation, inattendue et légèrement angoissante, a déclenché une vague de panique dans les couloirs feutrés de la République.
« On pensait qu’elle n’utilisait qu’un seul œil, l’œil gauche pour ignorer les syndicats, l’œil droit pour esquiver l’Assemblée. Mais non », explique le professeur Jean-René Louche, ophtalmologue spécialiste en diplomatie oculaire. « Elle voit les manifestations, les motions de censure, les questions au gouvernement… et elle continue comme si de rien n’était. C’est fascinant. »
Des tests poussés, des résultats troublants
L’étude, commandée par un mystérieux collectif de préfets en burn-out, inclut une série de tests visuels : lecture de pancartes à 500 mètres, repérage de banderoles CGT dans le brouillard lacrymogène, et détection de visages hostiles dans des foules d’étudiant en colère. Résultat : une vision binoculaire parfaite, une acuité à faire pâlir un faucon syndical.
« Elle a lu les résultats du BAC sans plisser les yeux », souffle un chercheur encore sous le choc. « Et elle a identifié un budget non voté à 300 mètres. Sans jumelles. »
La France divisée
La nouvelle a semé le doute dans l’opinion publique. « Donc elle voit tout, mais elle fait exprès de ne rien faire ? » s’étonne une passante, entre deux casseroles. D’autres y voient une stratégie : « Peut-être qu’elle regarde dans une autre dimension. Une réalité alternative où tout le monde adore la réforme des retraites. »
Des philosophes s’interrogent aussi. « La vision n’est-elle pas une forme de renoncement à l’aveuglement confortable ? », demande Bernard-Henri Lévy, en chemise ouverte et regard flou.
En attendant, Élisabeth Borne poursuit son chemin, visiblement bien équipée pour ne jamais perdre de vue ses objectifs. Même si personne ne sait très bien ce qu’ils sont.